03/12/2016
En Evoque. Cabriolet !
Début 2015 déjà, il se cachait dans les entrailles d'un tunnel en construction, sous les rues de Londres. Apparu lourdement camouflé mais sans le toit, aujourd'hui à l'essai le nouveau Range Rover Evoque cabriolet ou devrais-je dire, convertible.
Le Nissan Murano CrossCabriolet vous dit quelque chose ? Non, vraiment pas ? Ce modèle, lancé il y a déjà plusieurs années et destiné au seul marché américain n'a pas eu le succès escompté.... après sa retraite, aucun autre SUV n'avait osé enlevé le haut. Pas même ici, en Europe.
Pour ceux qui souhaitent voir les capacités de franchissement de l'Evoque ou des autres modèles de la marque, rendez-vous ici, là ou encore là. Vous avez le choix.
Je pourrais vous parler des phares adaptatifs à LED (en option), des nouvelles motorisations Ingenium...
...ou encore du système InControl Touch Pro de série qui reprend nombre d'informations sur un écran tactile de 10,2 " avec page d'accueil personnalisable.
La boîte automatique ZF, à huit rapports se montre, comme d'ordinaire très agréable. Sur le volant, chauffant et qui offre une excellente prise en main, les palettes sont là pour reprendre la main sur les rapports si nécessaire.
A l'arrière, comme de coutume, deux personnes pourront prendre place, à condition évidemment de ne pas être des géants. Logique.
On arrive au coffre qui est, certes plus que réduit par rapport à la version classique mais sur une version cabriolet, on ne s'attend jamais à des miracles, le volume étant ici de 251 litres.
Prenons un peu de hauteur pour parler de cette fameuse capote rétractable en une petite quinzaine de seconde.
Composée de cinq couches, cette dernière isole très bien des bruits extérieurs, même à 130km/h. Ouverte, on pourra également discuter avec son passager.
En l'absence d'un vrai toit, le véhicule n'est en pas pour autant plus léger, au contraire car il faut renforcer certains éléments.
Si le prix d'appel est de 50.960€, le modèle essayé s'affiche à 66.631€. Assez salé comme facture pour un véhicule qui n'a, certes aucune concurrence directe.
Néanmoins, le bonheur distillé que procure le fait d'être au volant qui plus est, cheveux au vent n'a, lui pas de prix.
